La reconnaissance
officielle de l’authenticité de la couleur naturelle
de la "Perle de Culture de Tahiti"
en 1976 par l'Institut Gémologique d'Amérique (GIA) et l’adoption de
l’appellation commerciale "Perle de Culture de
Tahiti" par la Confédération
Internationale de la Bijouterie Joaillerie et Orfèvrerie
(CIBJO), ont permis à ce joyau d’asseoir véritablement
sa réputation internationale.
La perle doit présenter une couche
perlière suffisante et continue sur au moins 80% de
la surface et ne doit pas laisser apparaître le nucleus,
même par transparence. Tout produit ne répondant
pas à ces critères est considéré
comme un rebut et est interdit à la vente. Lors de
la récolte, le perliculteur effectue un premier tri,
en éliminant tous les rebuts, puis procède à
une sélection de sa production, en fonction du diamètre,
de la forme et de la qualité de surface des perles,
selon la Classification
Officielle.
Sources GIE Perles de Tahiti |